1. Home
  2. /
  3. Enfance
  4. /
  5. Partenariats et projets Enfance
  6. /
  7. Page 2

Partenariats et Projets enfance

Nos partenaires sur les projets liés à l’enfance :

Fondation Horizons – SOS – UNIRAID

NEVEM – Grandir Aventure – Cabrières Hier et Aujourd’hui

UEPLM – Solidagascar

Formation à l’élevage des vaches laitières

Formation à l’élevage des vaches laitières

Parmi les membres des groupements VTMMA soutenus par AMADEA, 35 d’entre eux élèvent des vaches laitières. En collaboration avec la MDB (Malagasy Dairy Board), un organisme chargé de coordonner la filière, AMADEA leur propose des formations afin qu’ils puissent développer leur activité .

Les éleveurs sont dispersés dans différents Fokontany (communes) où AMADEA opère : Antanetibe, Ambohijatovo, Antsahamaina, Ambohiboahangy, pour n’n citer que quelques uns.

Durant ces formations, les techniciens de la MDB évoquent les nombreux aspects de l’élevage de vaches laitières, depuis les installations à la ferme, la nourriture des bovins, leur suivi sanitaire ou encore les cultures fourragères nécessaires à leur alimentation.

Cette formation intervient également dans le cadre d’un programme de la FAO : l’approche C.E.P (Champs Ecole Paysans) qui vise à renforcer les compétences des agriculteurs et éleveurs des pays d’Afrique australe, confrontés à de nombreux risques associés aux aléas naturels, principalement les cyclones, la sécheresse et les inondations

.

Un programme de formation en liaison avec la MDB

La Malagasy Dairy Board – GIE a été créée en 2004 par le ministère chargé de l’élevage (MAEP) avec l’appui de la FAO. Elle a été créée afin d’avoir un interlocuteur unique pour mieux coordonner les activités dans ce secteur. En savoir plus

LE CEP : un programme de la FAO

CEP, pour Champs Ecoles Paysans, est un programme de la FAO (l’organisation des nations Unies pour l’alimentation et la nourriture).
Les interventions de CEP ont communément pour principaux objectifs :
– d’améliorer la productivité pour assurer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté rurale.
– de renforcer la résilience des communautés confrontées à des catastrophes récurrentes telle que la sécheresse, les inondations et les ravageurs et les maladies végétales et animales transfrontaliers.
– de renforcer les actions et les mesures individuelles et collectives pour l’amélioration des moyens de subsistance.

Plus d’informations ici


Programme VAHATRA : 149  kits solaires distribués

Programme VAHATRA : 149 kits solaires distribués

Les familles de 149 enfants sélectionnés sur des critères de mérite et de pauvreté, ont reçu un kit solaire. Une distribution organisée à la maison des VTMMA, à Andranovelona, dans le cadre de l’opération annuelle «Cadeaux solidaires» d’UEPLM (Un Enfant Par La Main) et du programme VAHATRA.

A Madagascar, le taux d’électrification en milieu rural est inférieur à 5%. Cela signifie que pour la plupart des familles, la vie quotidienne est rythmée par le cycle du soleil et s’interrompt à la tombée de la nuit, lorsque seules des bougies permettent encore un minimum d’éclairage.

Pour les enfants scolarisés, cela signifie aussi que les devoirs à la maison ne peuvent plus être faits, sauf à disposer de lampes solaires, lorsqu’elles sont disponibles, grâce notamment aux kiosques solaires mis en place depuis quelques années par AMADEA et ses différents partenaires.

Pour les 149 familles concernées (78 dans la zone Ouest et 71 dans la zone Est), la distribution de ces kits solaires constitue un cadeau des plus précieux, mais aussi une avancée majeur dans leur mode de vie.

Pour davantage d’autonomie

Le kit solaire, modèle Home 40 Z, d’une valeur de 239 000 Ariary (soit environ 57 €), est fourni par le principal opérateur téléphonique à Madagascar. Il se compose de :
– 1 panneau solaire
– 2 plafonniers
– 1 lanterne mobile
– I poste de radio
– 1 boîtier de contrôle
L’installation, une fois en place, permet de bénéficier d’un éclairage de 5 à 40 heures selon le niveau de luminosité choisi. Le kit permet également de recharger des téléphones portables et … d’écouter la radio !

Cadeaux solidaires : des actions diversifiées

Chaque année, en concertation avec AMADEA, UEPLM lance un appel aux dons. L’année dernière , cet appel avait permis de financer l’achat de capes de pluie et de sandales en plastique («méduses») pour que les enfants puissent se rendre plus facilement à l’école durant la saison des pluies.
Lire l’article ici


Formation des pisciculteurs dans le cadre du programme VAHATRA

Formation des pisciculteurs dans le cadre du programme VAHATRA

En novembre 2021, sous l’égide d’AMADEA et de l’association UEPLM (Un Enfant par La main), une formation théorique à la pisciculture avait été organisée à Sambaina, dans le district d’Ankazobe.
Depuis, la quinzaine d’agriculteurs qui a suivi cette formation, est passée au stade pratique. Voici les premiers retours !

De la théorie à la pratique

La formation dont on bénéficié 15 agriculteurs/pisciculteurs entre dans le cadre du développement d’activités Génératrices de revenus (AGR), financées par le programme VAHATRA.
A la suite de cette formation, les stagiaires ont également reçu une aide matérielle, soit pour construire de nouveaux bassins, soit pour améliorer la qualité des bassins existants afin qu’ils puissent mettre en application les techniques apprises. Des alevins leurs ont été fournis (400 par personnes) ainsi que de la nourriture pour accompagner la période de démarrage.

A l’Ouest, des éleveurs professionnalisés!

La pisciculture n’était pas une nouveauté pour les agriculteurs qui ont été formés. Si, traditionnellement, les bassins d’élevage des poissons sont transmis de pères en fils, il n’en va pas de même des techniques permettant d’en tirer le meilleur parti.
Il faut dire que jusqu’à présent, la pisciculture était une activité annexe pour ces agriculteurs qui se contentaient de regarder leurs poissons grossir en leur donnant les restes de leurs repas … Et encore, quand ils y pensaient !
Avec la formation, ils ont appris toutes les technique permettant de suivre – de façon rationnelle – l’évolution de leur pisciculture.

A l’Est, l’envie d’améliorer les rendements

Comme pour leurs camarades des groupements Ouest, les pisciculteurs de la zone Est ont fait un chemin nouveau pour eux, celui de la rigueur et de la professionnalisation de leur activité.
Pour eux, tout l’intérêt de la formation a été d’apprendre comment gérer leurs bassins, aussi bien bien en ce qui concerne l’alimentation en eau, l’écoulement du trop-plein, l’entretien des berges ou encore la température de l’eau … Ils ont également appris comment et à quelle fréquence alimenter les poissons, comment suivre les différentes étapes de leur grossissement et surveiller l’aspect économique de leur pisciculture. Ils sont devenus des producteurs de poissons et non plus seulement des éleveurs d’alevins.

Aujourd’hui, dans les 2 zones pris en charge par le programme VAHATRA, on compte 33 bassins (étangs) de piscicultures qui produisent différentes variétés de poissons parmi lesquelles des carpes et des tilapias.


Reprise des cantines du programme Vahatra

Reprise des cantines du programme Vahatra

«Moi j’préfère manger à la cantine … »

Pierre Perret

S’ils connaissent la chanson, les écoliers dAnkarefo et les autres doivent surement la chanter avec plaisir.
Depuis le 14 février, les cantines ont repris dans les 11 écoles et collèges du programme VAHATRA.
Ce programme lancé il y a déjà 3 ans, permet de servir des repas chauds aux enfants 4 jours par semaine et ce, durant 14 semaines, de février à avril.

Fruit du partenariat entre AMADEA et l’association UEPLM « Un enfant par la main », le programme VAHATRA permet d’éviter l’absentéisme scolaire durant la période de soudure alimentaire, lorsque les réserves de la dernière récolte sont épuisées et en attendant que la nouvelle récolte commence.

Mise à jour du 22 février : Les cantines scolaires vont être prolongées de 8 semaines.
Après la COVID, la sécheresse et les inondations, les paysans sont confrontés à des difficultés majeures dans l’organisation de leur quotidien. Pour cette raison, AMADEA et son partenaire UEPLM ont décidé de porter à 22 semaines, la durée d’organisation des cantines scolaires dans les école et le CEG des communes d’Antanetibe, Mahazaza, Fihaonaba et Miantso.

Tout le monde participe !

Pour que le système mis en place puisse fonctionner, tout le monde est sollicité.
Les enfants apportent le riz et le bois pour la cuisson des aliments. Les parents d’élèves assurent la préparation des repas, la distribution des plats et la surveillance de la cantine.
Le programme VAHATRA prend en charge l’achat des aliments complémentaires : légumes et fruits (de plus en plus produits pas les paysans eux-mêmes), viande, etc. De plus, les médecins et techniciens nutritionnistes de l’association veillent à l’équilibre des menus, à l’hygiène et à la bonne santé de tous les bénéficiaires.
Le système est désormais bien en place comme en témoigne le reportage ci-dessous, réalisé dans 2 écoles participantes au programme.

Reportage et montage : Annie Christelle / Traduction : Jonathan Rason

Galerie photos

Retour sur la campagne 2021 : https://www.amadea.org/des-repas-chauds-pour-les-ecoliers-dankarefo/


Des jeunes paysans en formation pour préparer l’avenir

Des jeunes paysans en formation pour préparer l’avenir

Depuis plusieurs mois, trente jeunes agriculteurs et éleveurs des 2 groupements VTMMA Est et Ouest ont entamé un cycle de formation sur 2 ans. C’est parmi ces hommes et ces femmes qu’AMADEA espère trouver les «leaders de demain» !

Ce projet de formation est le fruit d’une réflexion initiée au sein d’AMADEA pour assurer la relève des techniciens qui encadrent actuellement les groupements paysans. L’objectif est ainsi de pérenniser nos actions sur le long terme. Pour cela, dans chaque groupement VTMMA, 15 jeunes (hommes et femmes, de 19 à 35 ans) ont été sélectionnés.

L’objectif est de leur donner les bases nécessaires pour intervenir dans les différents secteurs de l’économie rurale.

Un cursus de formation adapté

Un programme de formation sur 2 ans, adapté à leurs besoins spécifiques, a été établi.

La première année, à raison d’une semaine par mois, les stagiaires vont travailler sur 10 thèmes concernant les différentes activités agricoles soutenues par AMADEA : pisciculture, sériciculture, riziculture, aviculture, pépinières de fruits et légumes et même développement personnel, hygiène et nutrition.
Dans le même temps, les stagiaires doivent préparer collectivement des projets de développement pour leurs groupements. Les 2 dernières semaines seront consacrées à la formalisation de ces projets.

La seconde année, ils mettront en œuvre les projets de développement qu’ils auront étudiés la première année, dans leurs groupements respectifs.

Durant toute la formation, un système de tutorat permet aux jeunes paysans d’être accompagnés par les techniciens d’AMADEA.
En fonction des projets, une aide à l’équipement sera également apportée lors de leurs réalisations.

Découverte des activités génératrices de revenus

Pour acquérir des compétences dans tous les domaines de la vie agricole, une formation approfondie aux techniques mises en oeuvre dans les groupements est donnée aux jeunes paysans. Les stagiaires ont commencé à s’initier à deux de ces activités génératrices de revenus (AGR)


Focus sur l’activité piscicole

Cela commence par la création des bassins, leur ensemencement, l‘élevage des alevins puis des poissons et même les techniques de rizipisciculture

(cliquer sur une image pour lancer le diaporama)

Formation aux techniques de la sériciculture.

Toutes les phases de production de la soie ont été passées en revue.
Moriculture (culture des muriers dont les feuilles constituent la nourriture des bombyx).
Elevage des bombyx
– Récolte et lavage des cocons
– Les différentes opérations de filage et de tissage de la soie effectuées dans l’atelier MadaSoie d’Amberomanga..

(cliquer sur une image pour lancer le diaporama)

Des actions concrètes au service de la communauté

Des travaux pratiques sont également prévus dans le cadre de la formation.
Par exemple, à l’occasion de la foire annuelle des groupements agricoles, les stagiaires ont été mis à contribution pour préparer le site et veiller au bon déroulement de la foire.


(cliquer sur une image pour lancer le diaporama)

Ce programme de formation très innovant a déjà obtenu des financements de la part de la Région Franche Comté et de la Ville de Besançon.


Distribution des kits d’enseignement dans le cadre du programme VAHATRA

Distribution des kits d’enseignement dans le cadre du programme VAHATRA

Vendredi 15 octobre 2021, tous les enseignants du programme VAHATRA (Ecole Amadea et Ecoles Primaires Publiques) ont reçu de la part d’AMADEA et de UEPLM, leurs «kits d’enseignement». Un moyen, pour eux, de mieux accompagner les enfants dans leur parcours scolaire et éducatif.

Selon les formatrices qui sont intervenues en amont de cette distribution, ces kits constituent les fournitures de base nécessaires aux institutrices et instituteurs pour améliorer leurs capacités d’enseignement dans les différents niveaux des écoles préscolaires et primaires. Le but de cette distribution et donc de permettre aux enseignants de mettre en pratique les techniques pédagogiques qu’ils ont apprises sans que les problèmes de matériel ne constituent un frein.

Reportage : Annie Christelle

Pour les enseignants de la zone Ouest, la distribution s’est déroulée à Andranovelona.
19 kits ont été distribués (sans compter ceux prévus pour les enseignants qui n’ont pas pu assister à cette distribution)

Pour les enseignants de la zone Est, la distribution a eu lieu à Antanetibe21 kits ont été distribués.

A l’école publique d’Andranovelona
A l’école AMADEA d’Antanetibe

Des kits qui répondent aux demandes des enseignants

En aout dernier, avant la fin des grandes vacances, les enseignants du programme VAHATRA avaient été conviés à une semaine de formation (voir l’article ici) et c’est durant ce stage que la liste des outils et des supports pédagogiques nécessaires a été définie.

Kits d'enseignement

Journée mondiale du lavage des mains

Journée mondiale du lavage des mains

Depuis 2016, sous l’égide de l’OMS, la Journée mondiale du lavage des mains est organisée chaque année le 15 octobre. Elle permet d’attirer l’attention sur cette activité basique, mais qui constitue néanmoins l’un des moyens les plus importants de prévenir les maladies et de sauver des vies.
A Madagascar, AMADEA intervient dans les écoles qu’elle accompagne pour sensibiliser enfants et parents à l’importance d’une bonne hygiène des mains.

Reportage : Annie Christelle

L’opération s’est déroulée dans toutes les écoles du programme VAHATRA. Mais alors que les écoles publiques ont été dotées par l’Etat du matériel de lavage offert par l‘UNICEF, AMADEA l’a fait spécialement réaliser pour l’opération avec le même objectif : mettre à disposition des bidons d’eau et du savon afin que les enfants puissent se laver les mains facilement.
Illustration dans 2 écoles : à Ankarefo et Tsitakondaza.

A l’école d‘Ankarefo

A l’école de Tsitakondaza

Une action de sensibilisation réalisée en amont

« Se laver les mains avant de manger » … « Se laver les mains en sortant de la douche » … « Faites-vous des amis de l’eau et du savon » … « Se laver les mains après avoir joué » …

Dans les écoles « AMADEA », les affiches avec les slogans de cette journée ont été préparées et réalisées par les enfants alors que dans les écoles publiques, des posters ont été fournis par l’Etat Malagasy.
(Cliquer sur une image pour lancer le diaporama)

Démonstration par l’exemple !

Se retrousser les manches … Croiser les doigts … Frotter avec les ongles … Bien savonner les paumes ainsi que les espaces entre les doigts … Laver puis rincer les avant-bras …

Les médecins ainsi que les animatrices d’AMADEA ont montré la bonne façon de procéder puis ont organisé des séances de lavage des mains ainsi que des actions de sensibilisation auprès des enseignants pour marquer cette journée.
(Cliquer sur une image pour lancer le diaporama)

Pour rappel, cette activité est déjà effectuée tous les mois dans les écoles « AMADEA », à l’occasion des visites médicales et ce, avec d’autant plus de sérieux en ce temps de COVID.


Kits scolaires : l’avis des enseignants

Pour cette rentrée scolaire 2021-2022, Près de 1300 kits scolaires (sacs à dos avec les fournitures scolaires adaptées au niveau d’enseignement des écoliers) ont été distribués dans les 11 écoles et les 2 collèges (classe de 6e seulement) du programme VAHATRA.
Que pensent les maitresses et les maîtres de la distribution des kits scolaires ?
Nous avons demandé leur avis à Herinambinina et Nirina Lalao, institutrices et directrices des Ecoles Primaires Publiques d’Ambohiboahangy et d’Antanetibe.

Les enseignants de l’EPP d’Ambohiboahangy
Les enseignantes de l’EPP d’Antanetibe

– Quel est l’intérêt de cette distribution ?
«La distribution des kits scolaires a allégé la charge des parents par rapport au coût de la rentrée scolaire. Cela met aussi les élèves à égalité dès la première semaine de la rentrée et évite une perte de temps pendant l’enseignement car chaque élève possède déjà ses propres fournitures».

– Quels sont les résultats constatés après les 2 1ères années de distribution ?
«Après les deux premières années de distribution, on a constaté une diminution du taux d’absentéisme et du taux d’abandon des élèves ainsi qu’un accroissement du niveau de scolarisation des enfants de notre Fokontany (commune) et des environs».

– Que pourrait-on faire de plus pour faire mieux ?
«Alors nous, les enseignants, on vous supplie de continuer ce projet pour l’année prochaine et de nous aider un peu plus sur le plan financier et matériel. On vous remercie infiniment pour votre soutien».

Herinambinina RALAIMANANTSOA
Directrice de l’EPP d’Ambohiboahangy


Nirina Lalao RANDRIAMASINORO
Directrice de l’EPP d’Antanetibe

– Qu’apportent les kits scolaires ?
«Ils sont essentiels pour les enfants de l’école publique car ils mettent les élèves sur un pied d’égalité. La différence de niveau de vie entre eux n’est plus aussi flagrante.
Ils permettent également d’augmenter l’assiduité des élèves car c’est pour eux une source de motivation pour aller à l’école. 
Enfin, la distribution des kits scolaires est aussi une manière très efficace pour soutenir les parents dont la majorité sont en grande difficulté».

– Quel avantage concret pour l’apprentissage des enfants ?
«Après deux années de distribution, on peut constater que les parents ne retiennent plus leurs enfants à la maison à cause d’une manque de fournitures. Les enfants quant à eux, se concentrent beaucoup plus sur l’étude et ne s’inquiètent pas trop de comparer leurs fournitures, ce qui auparavant, pouvait être une cause de complexe» ! 

– Que pourrait-on faire de plus pour faire mieux ?
«On remercie le programme VAHATRA pour la distribution des kits scolaires. Maintenant, on peut espérer une allocation de bourse d’étude pour les meilleurs élèves, une cantine au quotidien pour lutter contre la sous-nutrition et la malnutrition ainsi qu’un programme d’activités parascolaires pour aider davantage les enfants durant l’année scolaire».


Une 3e campagne de distribution pour les kits scolaires

Une 3e campagne de distribution pour les kits scolaires

La rentrée scolaire ayant été avancée d’un mois cette année, la distribution des kits scolaires a dû être également anticipée.
Réalisée pour la 3e année consécutive dans le cadre du programme VAHATRA, en partenariat avec UEPLM (Association «Un enfant par la main»), cette nouvelle campagne concerne cette fois l’ensemble des élèves des écoles impliquées dans le programme et non plus uniquement les enfants parrainés.

Ambiance sur les différents sites de distribution (reportage ©Annie Christelle)

Un planning de distribution très serré

Compte tenu du nombre de kits préparés (1290 packages), la distribution s’est étalée sur 3 jours.

Le 7 septembre pour la zone Ouest :
– à l’école primaire d’Ankarefo, pour les écoles d’Ankarefo, d’Andranonahoatra et le collège d’Andranovelona) : 322 kits distribués!
– à l’école primaire de Tsitakondaza, pour les écoles de Tsitakondaza et d’Antsaonjobe : 219 kits distribués

Le 8 et 9 septembre pour la zone Est.
– à l’école primaire d’Antoby, pour les écoles d’Antoby et d’Amberomanga : 175kits distribués
– à l’école primaire d’Ambohiboahangy, pour les écoles d’Ambohiboahangy et d’Ambohijatovo : 121 kits distribués
– à l’école primaire de Mahazaza pour les écoles de Mahazaza et Antaninandro : 129 kits distribués
– à l’école primaire d’Antanetibe : 272 kits distribués

Distribution des kits dans le district de la zone Ouest
à Ankarefo et Tsitakondaza

Distribution des kits dans le district de la zone Est
à Antoby et Ambohiboahangy

Distribution des kits dans le district de la zone Est
à Mahazaza et Antanetibe

(Photos Annie Christelle)

Des kits pour chaque niveau

Les kits ont été préparés au cours de la dernière semaine du mois d’août (lire l’article)
Leurs compositions sont bien entendu différentes selon le niveau scolaire des écoliers auxquels ils sont destinés.
Depuis la classe pré-scolaire jusqu’aux classes de 6e du collège en passant par le Cours Préparatoire, le Cours Elémentaire et le Cours Moyen, ils répondent aux besoins de l’enseignement qui leur est dispensé .

Exemples de kits scolaires

Pour le niveau préscolaire
– 1 cahier d’écriture
– 1 cahier de dessin
– 1 cahier de graphisme
-2 protège-cahiers
– 1 crayon de couleur
– 1 crayon de bois
– 1 gomme
– 1 taille-crayon
-1 ardoise et 1 trousse

Pour le CM1
– 6 cahiers de 100 pages
– 6 protège-cahiers
– 4 stylos bleu, rouge, vert et noir
– 1 crayon de couleur
– 1 crayon de bois
– 1 règle complète
– 1 compas
– 1 gomme
– 1 taille-crayon
-1 ardoise et 1 trousse

Pour les classes de 6e
– 5 cahiers de 100 pages (petit format)
– 3 cahiers de 200 pages petit format
– 3 cahiers de 200 pages (grand format)
– 6 protège-cahiers
– 4 stylos bleu, rouge, vert et noir
– 1 crayon de couleur
– 1 crayon de bois
– 1 règle complète
– 1 compas
– 1 gomme
– 1 taille-crayon
-1 ardoise et 1 trousse

Les kits … Une fabrication locale

500 kits distribués la première année …. 833 la seconde et 1290 lors de cette rentrée !
AMADEA veille au maximum à utiliser les ressources disponibles sur place. C’est possible pour les sacs à dos qui sont fabriqués localement à Madagascar alors que les fournitures scolaires sont achetées chez des grossistes. (Lire l’article ici)


Préparation des kits scolaires 2021-2022

Préparation des kits scolaires 2021-2022

Les équipes d’Amadea préparent activement les kits scolaires qui seront distribués cette année à l’ensemble des élèves des écoles membres du programme VAHATRA.
Fruit du partenariat entre AMADEA et UEPLM (Un Enfant Par La Main), le programme VAHATRA est reconduit pour la 3e année consécutive dans les écoles soutenues par l’association.

Un changement de taille

Cette année, les kits seront distribués à l’ensemble des élèves et non plus seulement aux enfants parrainés ou en cours de parrainage. Pour cela, 1290 kits ont été adaptés aux besoins et au niveau scolaire de chaque enfant. Une lourde tâche pour toutes les « petites mains » d’Amadea qui ont dû s’organiser pour constituer les differents packs dans « l’océan des fournitures » reçues.

Selon le programme préalablement établi, les distributions des kits scolaires se feront le mardi 7 septembre pour toutes les écoles de la zone Ouest (district d’Ankazobe) et les 8 et 9 septembre, pour les écoles de la zone Est.