Pourquoi le parrainage ?

Nous recherchons des parrainages pour des enfants,
pour des projets de développement et pour le fonctionnement de nos diverses actions.

AMADEA a opté pour un mode de parrainage individualisé et mutualisé.

Dans le monde des ONG, les avis sont divers sur le sujet. Certaines associations ne prônant que le parrainage individuel, d’autres le parrainage collectif ou le parrainage de projets, les troisièmes laissant le choix entre les deux formules.
Il est évident qu’un parrainage de type individuel aura plus tendance à séduire le grand nombre, par la dimension humaine qu’il suppose, la relation personnelle – voire affective – entre le parrain, la marraine et son ou sa filleule, le fait que le parrain puisse « mettre un visage sur son don* ».

Aujourd’hui, de plus en plus d’ONG mettent en place une formule de parrainage individuel et mutualisé. Cela permet, tout en établissant un lien entre parrain/Marraine et filleul(le), d’intervenir au bénéfice du plus grand nombre.

Alors pourquoi Amadea  a-t-elle, jusqu’à maintenant, privilégié le parrainage collectif ou le parrainage de projets ?

AMADEA a toujours voulu voir l’aide de manière globale, en fonction des priorités exprimées par les partenaires.
Son objectif est de redistribuer à tous et ne pas privilégier l’un au détriment des autres.
L’association n’entend pas confondre aide et assistanat et ne pas susciter d’espoirs illusoires.

Au fil des années, AMADEA s’est développée et peut maintenant envisager un parrainage individualisé, mais qui concerne tout un groupe d’enfants, de façon égalitaire. Ce parrainage contribuera en outre à améliorer l’ensemble des conditions de vie des enfants, pour qu’ils puissent évoluer dans un milieu favorable à leur développement et à leur avenir. Pour cela le parrainage soutiendra leur école, la formation de leurs enseignants, leur famille par le
développement d’activités génératrices de revenus, l’amélioration des mesures d’hygiène, l’accès à l’eau, etc.

* Slogan utilisé par une association d’aide internationale à l’enfance