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Test de packaging à la foire’fouille de Noël

Christianna, notre nouvelle responsable de la commercialisation pour les production des différentes coopératives encadrées par Amadea, effectue sa première vente exposition.
Elle participe à la Foire’fouille de Noël, du 21 au 24 décembre au Palais des sports Mahamasina, à Antananarivo.

Son objectif avec les écharpes de Madasoie et toute la collection de fruits séchés de la coopérative Tsinjo : obtenir des retours sur les changements effectués en termes de packaging et de logo.
On ne doute pas qu’ils seront positifs !

Ouverture en vue pour le centre de formation d’Antsirabe

Ouverture en vue pour le centre de formation d’Antsirabe

Enfin ! Les travaux de construction et d’aménagement du Centre de formation d’Antsirabe sont parvenus au stade des finitions. Après une phase de recensement et d’identification des formations à mettre en place avec les différents partenaires concernés, les premiers stagiaires devraient pouvoir être accueillis dans le courant de l’année 2021.
C’est l’occasion de revenir sur l’origine de ce projet et sur les missions que le centre devra remplir.

Un peu d’histoire …

Construit à proximité immédiate du centre Mirana Tsiky, le bâtiment du centre de formation répond à un besoin apparu en 2015, 11 ans après l’ouverture de l’unité d’accueil pour enfants en situation difficile. Pour certains d’entre eux qui ne pouvaient pas poursuivre leurs études ou intégrer un apprentissage, se posait alors la question de leur avenir professionnel.

Avec le réseau OSCAPE (organisation de la société civile d’Antsirabe pour l’enfance) auquel AMADEA et l’APE collaborent, on a constaté que la problématique était globale : il manquait une telle structure de formation à Antsirabe !

Le bâtiment en construction, il y a un an
Initiation à l’informatique
Matériel informatique

Un centre pour quoi faire ?

Pour les adolescents de Mirana Tsiky, comme pour les autres jeunes en difficulté de la communauté urbaine d’Antsirabe, le centre de formation devra leur permettre d’acquérir les compétences nécessaires pour entrer directement dans le monde du travail.

Parmi les formations déjà envisagées : couture, cuisine, pâtisserie, menuiserie, jardinage, apiculture, petit élevage et informatique. Il s’agira de formations très concrètes et individualisées pour leur permettre d’avoir immédiatement une activité génératrice de revenus, gage de leur autonomie financière.

Locaux et équipements

Au rez de chaussée, on trouvera une grande salle polyvalente et une cuisine pour les ateliers de formation culinaires. A l’étage, il y aura quatre salles pour accueillir les différents ateliers en fonction des formations.

Grâce au financement et à la mobilisation des bénévoles du comité Centre Ouest Atlantique, une partie du matériel a déjà été envoyé par conteneur. D’autres équipements, notamment pour le travail du bois, doivent être expédiés au début de 2021.

Pour compléter le centre de formation, des bureaux restent à construire sur une partie du terrain disponible. A ce jour, l’opération n’est pas encore planifiée.

Au mois de janvier 2021, la construction du centre et des annexes est terminée. Les travaux de plomberie et d’électricité ont été réalisés, mais il faut encore que toute l’installation soit raccordée au réseau pour que le bâtiment soit totalement opérationnel.

La construction et l’équipement du centre de formation ont pu être réalisés grâce à des subventions de la Région Bourgogne Franche-Comté, de la ville de Besançon et du Département des Pyrénées Atlantiques.
Un financement résiduel est attendu du projet QUAPEM (projet multi-bailleurs, piloté par l’UNICEF pour venir en aide aux centres qui accueillent des enfants)
Sur des plans réalisés par un architecte bénévole Franc-comtois, l’association UNIRAID (université UniLassalle de Beauvais) et des bénévoles d’AMADEA sont intervenus au tout début de la  construction pour financer et entamer le gros œuvre.

Il n’y aura pas que le centre de formation …

En plus du bâtiment principal, un logement pour un gardien ainsi qu’un bloc de toilettes ont été construits à proximité.


Comment parvenir à l’autosuffisance alimentaire ?

Amadea part du principe que pour les paysans, aucune demande d’évolution de leurs pratiques ne peut être efficace tant qu’ils n’ont pas résolu leurs problèmes d’alimentation.
Dans les groupements agricoles encadrés par Amadea, cette question est prise en compte de deux façons :
– Par l’amélioration de la productivité dans les rizières, grâce à la maîtrise de techniques plus performantes.
– Par la diversification des productions et notamment par la pratique de cultures maraîchères de contre-saison et de cultures vivrières durant la période des pluies.

(Article de Patrick Johannes)

Une alternative ou un complément à la riziculture ?

Dans les zones où intervient Amadea, les cultures de contre-saison sont l’alternative logique à la recherche d’une amélioration de la productivité rizicole et à l’évolution vers l’autosuffisance alimentaire.
L’amélioration des rendements en matière rizicole est le résultat de l’utilisation des nouvelles techniques et de l’emploi de nouvelles semences, mais aussi et surtout de l’utilisation des rizières pour les cultures maraîchères de contre-saison.

La culture de contre-saison dans les rizières est aujourd’hui pratiquée sur près de 95% des zones où intervient Amadea.

Cette année, les pépinières ont permis de fournir près de 20% des semences utilisées par les membres des groupements. De plus, près de 30% de ces semences ont été achetées à des producteurs formés par Amadea dans la zone concernée.

Des semences contre des méthodes de culture respectueuses de l’environnement

Pour Amadea, la promotion des cultures maraîchères de contre-saison consiste à fournir aux paysans entre 10 et 15 variétés différentes de semences de légumes.
En échange, ils doivent s’engager à respecter les procédures techniques préconisées pour chaque variété de légume, à effectuer eux-mêmes les travaux nécessaires et à apporter l’ensemble des autres intrants (les engrais) qui ne doivent pas être chimiques. 
Si toutes les semences distribuées auparavant provenaient de dons extérieurs collectés par Amadea, ou d’achats sur place, depuis quelques années, 90% de celles-ci proviennent désormais de semences achetées par Amadea aux membres des groupements qui sont devenus eux-mêmes producteurs de semences, grâce aux formations dispensées par les techniciens d’Amadea.

A ce titre, le haricot a pris une place importante dans le programme d’Amadea car il constitue :

  • une très bonne culture de rotation dans les rizières 
  • Un substitut de choix pour répondre aux besoins en protéine dans l’alimentation des paysans.

Apprendre à préparer et à consommer autrement

En plus de la fourniture de semences et de l’apprentissage de nouvelles méthodes de culture, l’action d’Amadea se poursuit avec l’intervention d’animatrices et de médecins de l’association.
A travers des actions régulières d’éducation nutritionnelle et sanitaire dans les groupements, ils apprennent aux paysans comment préparer les légumes et quels bienfaits peut apporter leur consommation.

S’il a fallu plusieurs années pour obtenir des résultats satisfaisants, les visites à domicile ainsi que les foires annuelles organisées par Amadea permettent aujourd’hui de constater que les paysans des zones concernées par ce programme l’ont adopté au bout de quelques mois seulement.


Séchage des litchis dans les fours solaires

Séchage des litchis dans les fours solaires

A Madagascar, la récolte des litchis s’étend de mi-novembre à mi-janvier. Cette année, il semble que la saison soit un peu en avance, ce qui augure d’une bonne qualité des fruits, mais pas forcément d’une grande quantité.

Mais avant même que démarre la récolte, les producteurs sont un peu inquiets du manque de réactivité des importateurs européens (principalement) car la crise de la COVID-19 a fortement freiné leurs réservations.

Quoi qu’il en soit, c’est une période ou l’arrivée massive des fruits sur le marché a une incidence non négligeable sur le prix accordé aux producteurs.
C’est pourquoi, comme pour les autres productions saisonnières, il est important de ne pas «inonder» le marché en produits frais, au risque de faire chuter les prix. Et c’est là tout l’intérêt de la sécherie d’Andranovelona, créée par AMADEA, en partenariat avec le CEAS (Centre Ecologique Albert Schweitzer). En reportant l’arrivée sur le marché de produits qui plus est transformés, les agriculteurs bénéficient des sources de revenus supplémentaires et pérennes.

Des fours de séchage à l’énergie solaire

Dans la coopérative Tsinjo, les groupements d’agriculteurs ont pu acquérir au début de l’année, 2 fours solaires (ainsi que 2 fours à gaz) supplémentaires. Ils ont été financés grâce à la Fondation EDF, des subventions du Conseil régional de Bourgogne Franche Comté et de la ville de Besançon.
Outre le côté écologique et économique de leur fonctionnement, leur installation était devenue une nécessité pour répondre à la fois à la demande des producteurs en capacité de séchage, mais aussi des consommateurs qui apprécient les fruits séchés.


Une nouvelle salle de classe en construction à Antsaonjombe

Une nouvelle salle de classe en construction à Antsaonjombe

Réalisée dans le cadre du programme VAHATRA, la nouvelle salle de classe de l’école d’Antsaonjombe sort peu à peu de terre.
Les travaux, financés par UEPLM (Association Un Enfant Par La Main) ont commencé le 15 octobre dernier. Ils devraient être achevés avant le début de la saison des pluies.

Si AMADEA n’est pas partie prenante dans la construction elle-même, l’association est intervenue dans le choix de cette école parmi toutes celles qui sont impliquées aujourd’hui dans le programme VAHATRA.
C’est par la volonté des parents d’élèves, avec l’appui d’AMADEA, que cette école communautaire a en effet pu voir le jour, il y a quelques années. Les villageois ont construit les premières salles de classe et Amadea a pris en charge les salaires des enseignants.
Mais aujourd’hui, les locaux sont devenus insuffisants et la création d’une salle de classe supplémentaire était nécessaire.

La construction d’un nouveau bâtiment – qui plus est une salle de classe – est toujours un évènement. On se doit de respecter le « Fomba Malagasy » (us et coutumes de Madagascar)

Déjà 4 semaines depuis le début de la construction

Après l’approvisionnement en matériaux, la réalisation des fondations en blocs de pierre, l’élévation des murs en briques, et la réalisation sur place des éléments de claustras en ciment, on en est déjà arrivé à la toiture !

L’accès à l’école sera également facilité

En plus de la nouvelle salle de classe et à la demande des parents d’élèves et des enseignants, une passerelle va être construite au-dessus d’une rivière, près de l’école, afin de permettre aux élèves de la traverser pendant la saison des pluies.

La future passerelle fera 19 m de long

Pour en savoir plus sur le déroulement de ce chantier, téléchargez le point d’étape de la construction d’UEPLM

— RAPPEL —
Le programme VAHATRA vise à améliorer la scolarisation des enfants par une mutualisation des parrainages. Parmi les actions engagées :
* Distribution de kits scolaires (sacs à dos et fournitures) pour les élèves des écoles pré-scolaires et primaires.
* Réhabilitation et constructions d’écoles et de salles de classee.
* Prise en charge et amélioration de la rémunération des enseignants.
* Distribution de collations et repas à la cantine.


Distribution de vers à soie

Distribution de vers à soie

Dans le cadre des activités génératrices de revenus du programme de partenariat AMADEA/UEPLM (Association Un Enfant Par La Main), l’association a procédé, au courant du mois de décembre, à la distribution de vers à soie d’élevage (bombyx Mori) à une quinzaine d’éleveuses. La sériciculture est rarement l’activité principale des éleveurs, mais elle est très rémunératrice. Selon le nombre des cellules d’oeufs de bombyx, ils peuvent retirer un revenu moyen de 100 000 Ariary (environ 24,3€) pour un cycle d’élevage d’une durée d’un mois. En effet, du fait d’une maladie qui frappe depuis environ 3 ans la filière séricicole, la production ne peut plus répondre à la demande du marché.

Distribution de Bombyx-2

Distribution de Bombyx-1 Distribution de Bombyx-3

Des blocs sanitaires et des puits pour des écoles rurales

Des blocs sanitaires et des puits pour des écoles rurales

Avant la rentrée scolaire prévue le 28 octobre, les groupes scolaires de 2 villages de la région d’Antananarivo (district d’Ankazobe), vont bénéficier d’installations sanitaires « flambant neuf » !
C’est une action concrète du programme «VAHATRA» (racine, en malgache) engagé avec UEPLM (Association «Un enfant par la main»).

 

Les 98 élèves et les 4 enseignants des écoles d’Andranonahoatra et de Tsitakondaza (2 écoles créées il y a une dizaine d’années par AMADEA) vont bénéficier de nouveaux blocs sanitaires. Les installations actuelles étaient insalubres et surtout pas adaptées à une utilisation par des enfants. En plus, elles ne disposaient pas de l’eau courante, ce qui contraignait les parents à  se relayer pour aller la puiser à l’extérieur du village. La difficulté d’accéder à l’eau potable est d’ailleurs la principale cause d’infections parasitaires dans les communes rurales.

Le projet prévoit  la construction de :

  • 6 toilettes turques à fosses perdues (4 à Andranonahoatra et 2 à Tsitakondaza (en fonction du nombre d’élèves)
  • 2 puits pour garantir l’approvisionnement en eau des écoles
  • Des lave-mains collectifs accolés à chaque puit afin de favoriser l’apprentissage de l’hygiène pour les enfants.

Puit pour alimentation en eau sanitaires écoles                             IMG-0400

        TYPE DE PUIT RÉALISÉ                                                       EXEMPLE DE TOILETTES À LA TURC

Le coût de ce projet est estimé à 5000€, financé grâce au partenariat noué par UEPLM avec le Groupe international WIRQUIN, spécialisé dans la plomberie et les installations sanitaires.

Voir la fiche-projet ici : Fiche projet_Bloc sanitaire Mada


Un second projet de blocs sanitaires est également en voie d’achèvement … 

Il concerne les écoles d’Antoby (97 élèves et 4 enseignants) et à Antsaonjobe (79 élèves et 3 enseignants).
Les installations identiques à celles des 2 premières écoles, ont été financées par un partenariat entre UEPLM et LES CANALISATEURS,  une organisation professionnelle qui fédère 330 entreprises spécialisées dans la pose et la réhabilitation de canalisations d’eau potable, d’eaux usées, d’irrigation et de gaz.
Les groupes sanitaires devraient également être prêts pour la rentrée scolaire.
Deux nouvelles salles de classe pour l’école d’Antsaonjobe !

Deux nouvelles salles de classe pour l’école d’Antsaonjobe !

Dans le cadre du partenariat avec UEPLM (Association «Un enfant par la main»), les travaux de construction de 2 salles de classe sont lancés à Antsaonjobe. Objectif : ouverture à la rentrée scolaire 2020-2021.

(Reproduction partielle d’un article publié sur le site Web d’UEPLM)

Madagascar : 2 salles de classes pour l'école Antsaonjobe !

L’école Antsaonjobe, située à une cinquantaine de kilomètres de la capitale Antananarivo fait partie des 9 nouvelles écoles situées dans la province d’Antananarivo du nouveau programme de parrainage Vahatra, lancée en janvier 2019 en collaboration avec l’association AMADEA.  Elle accueille 76 élèves de la maternelle au CM2, et comme nombre d’écoles de la province, elle rencontre cette problématique. L’école est composée de 2 bâtiments de 2 salles chacun ; soit uniquement 4 salles de classe pour 8 niveaux scolaires.

Le succès du projet cantine scolaire mis en œuvre par Un Enfant par la Main et Amadea durant la période de soudure alimentaire de janvier à avril 2019 va très certainement pousser de nouveaux enfants à rejoindre les bancs de l’école à la rentrée prochaine. D’ici quelques mois, les infrastructures ne seront donc plus suffisantes pour garantir l’accès à une éducation de qualité.

Notre projet : Construire et équiper 2 salles de classe pour 126 enfants de l’école d’Antsaonjobe

Madagascar : 2 salles de classes pour l'école Antsaonjobe !

Ce projet vise à améliorer l’accès à l’éducation ainsi que les conditions d’accueil de l’école Antsaonjobe à travers :

  • La construction d’un bâtiment de 2 salles de classe de 30m²  afin d’accueillir entre 40 à 50 élèves supplémentaires à la rentrée prochaine,
  • L’équipement de ces 2 salles de classes en tables bancs, armoires, tableaux, tables maitres et chaises, confectionnés par des artisans locaux.

La construction et l’équipement de ce nouveau bâtiment se fera en plusieurs étapes :

  • Identification au sein de la communauté de la main d’œuvre en charge de la construction du bâtiment,
  • Achat des matériaux dans la zone et transport jusqu’à l’école,
  • Construction des deux salles de classe,
  • Supervision et suivi des travaux par notre partenaire sur place – AMADEA
  • Confection des équipements (tables bancs, etc.) par des artisans locaux,
  • Transport et installation de ces équipements dans les deux nouvelles salles de classes
  • Réception définitive des travaux avant la rentrée scolaire 2020-2021

A noter que les matériaux utilisés pour la construction de ce bâtiment seront confectionnés par des artisans locaux afin de favoriser l’économie locale et de respecter l’architecture des constructions malgaches : briques en argile pour les murs, portes en bois, etc.

Les résultats : 126 élèves et leurs professeurs seront accueillis pour la rentrée 2020/2021 dans de meilleures conditions d’apprentissage et d’enseignement

Lire l’article sur le site d’UEPLM :  ICI       UEPLM


L’énergie photovoltaïque au service du développement local à Madagascar

KIosque-Amberomanga         eclairage          plaque-kiosque

Dans les régions rurales reculées de Madagascar, l’accès aux services essentiels tels que l’électricité fait bien souvent défaut. En effet, 95% de la population rurale de Madagascar n’a pas accès à l’énergie électrique. Or, celle-ci devient rapidement indispensable et son absence handicape le quotidien des familles habitant ces zones rurales.

Face à cette problématique, AMADEA et plusieurs acteurs se sont peu à peu mobilisés afin de trouver une solution efficace et peu coûteuse : c’est ainsi qu’a émergé l’idée d’édifier des kiosques solaires.

Le projet vise à implanter 3 kiosques solaires dans différents villages en zone rurale. Les kiosques ont été pensés de façon à répondre à plusieurs besoins simultanément. En effet, ils serviront à électrifier les écoles alentours, assurant ainsi l’éclairage des salles de classes et l’usage d’appareils électriques comme des ordinateurs ou des frigos. De plus, ils apporteront un éclairage dans les lieux publics à travers la mise en place de projecteurs, prodiguant ainsi une plus grande sécurité, et l’opportunité d’organiser des événements en soirée. Enfin, les kiosques solaires permettront aux familles de recharger des téléphones ou du matériel informatique ainsi que des lampes. Ce projet de kiosques solaires résulte de la collaboration de différents acteurs, dont les premiers ont été les habitants des villages concernés qui ont donné l’impulsion nécessaire au projet. AMADEA est venue appuyer cette initiative, en collaboration avec le CEAS (Centre Ecologique Albert Schweitzer) et l’entreprise JIRO VE qui assure la gestion technique des kiosques. Ces acteurs gèrent ensuite l’utilisation et le maintien des infrastructures grâce à un comité de gestion.

Si le troisième kiosque est encore à l’état de projet (à Mahambo), un second est en cours de construction et le premier a été récemment mis en service. Celui-ci est situé à Amberomanga, sur les hauts plateaux malgaches, et a été inauguré le 2 septembre dernier. Ce premier kiosque s’avère être une réussite puisqu’il bénéficie déjà aux 100 élèves des écoles préscolaires et primaires d’Amberomanga ainsi qu’aux 200 familles du village.

 

Ce projet d’électrification est un pilier pour le développement local, en répondant à la fois à une ambition environnementale et sociale. Grâce à la mise en place d’une source d’éclairage à moindre coût s’appuyant sur l’énergie solaire, le projet de kiosques répond aux besoins des villages et de leurs habitants. L’accès à l’énergie électrique assure des conditions favorables pour l’apprentissage des enfants et améliore le quotidien des familles.

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