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Un alambic à Andranovelona

Un alambic à Andranovelona

Nous y voilà !
Non sans quelques retards, difficultés et péripéties diverses, le projet de distillerie d’huiles essentielles, sur le site de la coopérative Tsinjo, à Andranovelona, est désormais entré dans sa phase opérationnelle.
La «première cuvée» d’huile essentielle de Ravintsara a été distillée et les résultats sont prometteurs.

Pour la première opération de distillation, 210 kilos de feuilles de ravintsara ont permis de produire 3,5 litres d’huile essentielle. Selon le formateur présent sur place, c’est un très bon rendement !

Un projet infusé … au goutte à goutte !

Le projet d’installation d’une unité de distillation d’huiles essentielles dans l’enceinte de la coopérative Tsinjo, ne date pas d’hier.


Avant que le Conseil régional de Nouvelle Aquitaine n’accorde sa subvention, (lire l’article ici) il a fallu, pour le comité AMADEA Centre Ouest Atlantique, monter tout un dossier technique et s’entourer des garanties nécessaires : acquisition du matériel, soutien d’un professionnel de la filière, formation, etc.


Le transport par conteneur, jusqu’à Madagascar, d’un ancien alambic de la région charentaise et surtout les formalités douanières, n’ont pas été non plus l’épisode le plus simple à gérer.
Après avoir demandé conseil à un spécialiste malagasy – qui va d’ailleurs aider à l’installation du matériel et à la formation des membres de la coopérative – il a finalement été conseillé d’acquérir sur place un alambic neuf chez un fabricant qui fournit déjà de nombreux projets de distillation à Madagascar.

Finalement cet alambic ne pourra être installé que dans un second temps, mais il a donné l’impulsion nécessaire. Une jeune entreprise locale, spécialisée dans la distillation, a été sollicitée pour la fabrication, l’installation et la mise en route du premier alambic qui vient d’être testé avec succès.

Aujourd’hui,le premier alambic est déjà opérationnel, mais les travaux d’aménagement ne sont pas terminés pour autant. L’infrastructure pour abriter les matériels actuels et à venir doit être terminée avant la saison des pluies qui arrive bientôt.

Huiles essentielles, tisanes et autres activités …

Les membres de la coopérative Tsinjo vont désormais pouvoir miser sur un débouché supplémentaire dans leurs productions agricoles. Outre la production d’huiles essentielles dont certaines sont spécifiques à la «Grande Île», la fabrication de tisanes à partir de plantes endémiques de Madagascar, promet elle aussi des débouchés commerciaux intéressants.

Avec le séchage de fruits (physalis, ananas, bananes, litchis, kakis), de plantes aromatiques et de racines (curcuma, gingembre, etc) … Avec la préparation de confitures, de pâtes de fruits et de rhums arrangés … Avec la fabrication de savons … Une nouvelle activité vient s’ajouter à celles déjà mise en place depuis 2018 par AMADEA et les coopérateurs de l’unité d’agro-transformation d’Andranovelona.

Et comme disent les anglophones, « last but not least“, le projet contribue en plus à protéger la biodiversité. Certaines plantes, encore récemment brulées, deviennent désormais génératrices de revenus.
Que demander de plus ?

Une arrivée … alambiquée !

A Andranovelona, l’installation de l’alambic arrivé il y a plusieurs mois à Tamatave, n’a pas été un long fleuve tranquille.

Le matériel venu de France, nécessitait quelques transformations pour être en mesure de distiller des huiles essentielles. L’alambic avait commencé à être modifié en France, mais personne, à Madagascar, n’était en mesure de terminer cette modification. Il a donc été décidé d’acheter sur place un alambic neuf.

Hélas pour AMADEA, à cause de la pandémie de COVID-19 et du confinement en France des responsables malgaches, il n’a pas été possible de récupérer l’alambic à la date convenue alors que celui-ci avait déjà été payé. Entre temps, le fabriquant l’avait vendu à un autre client en promettant d’en fabriquer un nouveau pour AMADEA. Et même s’il a tenu parole, cela a entrainé un nouveau retard dans la finalisation du projet.

Heureusement,au final, tout est bien qui finit bien.


Petite restauration en vue à Andranovelona

Inaugurée au début de l’année, la boutique de vente installée à l’entrée de la coopérative Tsinjo, à Andranovelona, prévoyait également un espace de restauration pour permettre aux visiteurs de faire une pause-déjeuner sur la route de Majhunga.
Avec l’épidémie de Covid-19, l’ouverture du restaurant n’a pu avoir lieu comme prévu… Mais ce n’était que partie remise !

La boutique artisanale et son restaurant, au PK45 – RN4 à Andranovelona

Petit rappel : au printemps dernier, une formation avait été lancée pour quelques jeunes susceptibles d’assurer la restauration dans les nouveaux locaux. Il s’agissait principalement d’une formule snack avec pizzas et petits plats rapides à confectionner.
Mais avec la reprise de l’épidémie de Coronavirus, l’activité de la sècherie avait du être stoppée et avec elle, le lancement du projet.

Aujourd’hui, les affaires repartent !

Dans l’optique d’une ouverture prochaine du restaurant, a priori avant la fin de l’année, d’autres jeunes susceptibles de faire fonctionner le restaurant ont été identifiés et sélectionnés.


En attendant que la décision d’ouverture soit officiellement prise, ils se préparent à accueillir leurs futurs clients. Pour les aider, en guise de «cobayes», il y avait dernièrement les techniciens d’Amadea réunis le 15 octobre pour effectuer la distribution des kits d’enseignement aux instituteurs et institutrices des écoles AMADEA (lire l’article ici) .

Cliquer sur une image pour lancer le diaporama

Cuisine … et dépendances !

A noter que les futurs gérants du restaurant seront également chargés d’assurer la vente des produits de la coopérative TSINJO (fruits séchés, confitures, pâtes de fruits …) ainsi que les produits de SAVONIKO (savons) et de MADASOIE (écharpes et écheveaux de soie).


Distribution des kits d’enseignement dans le cadre du programme VAHATRA

Distribution des kits d’enseignement dans le cadre du programme VAHATRA

Vendredi 15 octobre 2021, tous les enseignants du programme VAHATRA (Ecole Amadea et Ecoles Primaires Publiques) ont reçu de la part d’AMADEA et de UEPLM, leurs «kits d’enseignement». Un moyen, pour eux, de mieux accompagner les enfants dans leur parcours scolaire et éducatif.

Selon les formatrices qui sont intervenues en amont de cette distribution, ces kits constituent les fournitures de base nécessaires aux institutrices et instituteurs pour améliorer leurs capacités d’enseignement dans les différents niveaux des écoles préscolaires et primaires. Le but de cette distribution et donc de permettre aux enseignants de mettre en pratique les techniques pédagogiques qu’ils ont apprises sans que les problèmes de matériel ne constituent un frein.

Reportage : Annie Christelle

Pour les enseignants de la zone Ouest, la distribution s’est déroulée à Andranovelona.
19 kits ont été distribués (sans compter ceux prévus pour les enseignants qui n’ont pas pu assister à cette distribution)

Pour les enseignants de la zone Est, la distribution a eu lieu à Antanetibe21 kits ont été distribués.

A l’école publique d’Andranovelona
A l’école AMADEA d’Antanetibe

Des kits qui répondent aux demandes des enseignants

En aout dernier, avant la fin des grandes vacances, les enseignants du programme VAHATRA avaient été conviés à une semaine de formation (voir l’article ici) et c’est durant ce stage que la liste des outils et des supports pédagogiques nécessaires a été définie.

Kits d'enseignement

La spiruline : l’espoir d’un « or vert » pour Amadea

La spiruline : l’espoir d’un « or vert » pour Amadea

Dans l’enceinte du centre Mirana Tsiky, à Antsirabe, l’atelier de production de spiruline fonctionne maintenant au mieux de ses capacités.

Depuis l’importante rénovation des bassins opérées à l’automne 2020, les techniciens disposent désormais d’une structure de production performante (lire l’article ici : https://www.amadea.org/de-nouveaux-bassins-pour-la-spiruline-a-antsirabe/)

Une production en hausse sensible !

Depuis le redémarrage de l’atelier, en novembre dernier et jusqu’au mois de mars 2021, la production hebdomadaire moyenne s’est élevées à 2,2 kilos/semaine, soit plus de 8 kilos par mois.
Mais depuis le mois d’avril et en raison de la saison hivernale, peu propice à la production de spiruline, le quantité hebdomadaire est descendue à 1,3 kilo.

Quoi qu’il en soit, les techniciens ont des objectifs de production à tenir et nul doute qu’ils retrouveront leurs bons résultats, dès la fin de l’hiver.

Quoi qu’il en soit, en plus d’une distribution régulière aux enfants et adolescents des centres de Mahambo et d’Antsirabe, la spiruline est désormais commercialisée, notamment dans le nouveau point de vente accolé à la coopérative Tsinjo, à Andranovelona ainsi que sur sa page Facebook.


A la rencontre d’AMADEA, à Madagascar

A la rencontre d’AMADEA, à Madagascar

Si, en France, AMADEA est une fédération constituée d’associations régionales regroupant les membres bénévoles et les sympathisants, à Madagascar, c’est une véritable «petite entreprise» qui a été mise en place pour accompagner et suivre les différentes actions engagées sur le terrain.
Sous la responsabilité de Patrick Johannes, chef de mission et de Lalao Johannes, cheffe de projet, une quarantaine de salariés travaillent auprès des groupements agricoles, des écoles et des enfants, dans les centres d’accueil. Leur rôle est de mettre en oeuvre les programmes de développement et d’accompagnement engagés et de suivre toutes les actions validées par le Conseil d’administration d’Amadea.

Reportage et montage à Madagascar : Annie Christelle

L’atelier MadaSoie, à Amberomanga

L’atelier MadaSoie, à Amberomanga

A Amberomanga, toutes les activités liées à la filière «soie» sont représentées dans et autour de l’atelier Madasoie.
Depuis la plantation de muriers (dont les feuilles constituent la nourriture exclusive des vers à soie) en passant par l’élevage des bombyx puis le filage des cocons et jusqu’au tissage d’écharpes et leur commercialisation … Cette activité fournit un complément de revenus non négligeable pour les agricultrices formées et accompagnées par Amadea.

Reportage de Annie Christelle


Antsaonjobe : la nouvelle salle de classe est terminée !

Antsaonjobe : la nouvelle salle de classe est terminée !

En ce vendredi 15 janvier, c’est jour de fête pour les écoliers et les parents d’élèves d’Antasaonjobe !
Aujourd’hui, s’est déroulée la réception des travaux d’une nouvelle salle de classe dont la construction a débuté le 15 octobre dernier. Avec elle, une passerelle d’accès a également été réalisée. Elle permettra de traverser sans encombre un petit cours d’eau qui devenait rapidement infranchissable pendant la saison des pluies.

Le nouveau bâtiment est prêt à l’usage
La nouvelle passerelle, c’est du solide !

La nouvelle salle de classe  ainsi que la passerelle ont vu le jour grace à un financement engagé dans le cadre du programme VAHATRA, géré par UEPLM (Association «Un Enfant Par La Main»).

Une belle aventure qui remonte à 20 ans

Situé à une cinquantaine de kilomètres de Tananarive, Antsaonjombe est un village très enclavé ; au point même que certains visiteurs n’ont pas hésité à qualifier son «groupe scolaire« d’ «école du bout du monde» !
Pour la petite histoire, on retiendra qu’il y a presque 20 ans, à la demande des parents d’élèves, Amadea a participé à la construction et à l’ouverture de la première salle de classe : c’était le 12 Octobre 2001.
Avec la motivation des enseignants et des parents d’élèves, les trois niveaux d’enseignement du niveau préscolaire (la maternelle en France) ont pu être dispensés dans l’école au bout de 3 ans.
Dans la continuité de ce bon démarrage, Amadea a encore apporté son aide matérielle aux parents d’élèves pour leur permettre de construire une nouvelle salle de cours pour les enfants arrivant en CP 2, à l’école primaire. De fil en aiguille et d’année en année, toutes les classes nécessaires au suivi du cycle primaire ont fini par être créées.

A qui aura les meilleurs résultats scolaires !

Depuis quelques années, dans la zone Ouest, l’école d’Antsaonjobe est en compétition avec celle d’Ankarefo pour savoir laquelle obtiendra les meilleurs résultats aux examens du certificat de fin du premier cycle (CEPE) .
Cette rivalité toute amicale a amené plus de parents du village à vouloir inscrire leurs enfants, mais c’est également ce qui a entrainé un besoin de places (et de classes) supplémentaires.
Depuis 2019 et la mise en place du programme Vahatra, en partenariat avec UEPLM, les enseignants bénéficient de davantage de formations et sont encore plus motivés par un surplus de salaire que le programme leur alloue, en plus de celui qui est versé par AMADEA et dont une partie vient de l’association NEVEM de saint Pierre du Mont.
Des parents volontaires et des enseignants motivés, ce sont les deux ingrédients d’une belle réussite.

A l’école, le ventre plein !

En période de soudure alimentaire (de Janvier à avril) les enfants bénéficient d’un repas chaud grâce à la mise en place d’une cantine gérée par les parents d’élèves et le corps enseignant et qui est financée par le programme VAHATRA. 
Preuve du succès de cette opération, les parents d’élèves souhaitent désormais que cette cantine puisse fonctionner toute l’année.

Article à lire : Une nouvelle salle de classe en construction à Antsaonjobe


Des plants d’arbres pour les groupements agricoles

Des plants d’arbres pour les groupements agricoles

Le reboisement fait partie du volet traditionnel des actions d’Amadea en faveur de la protection de l’environnement. Depuis quelques années, un partenariat s’est instauré avec l’ONG « Graine de vie » et sa pépinière implantée au sein du domaine du Père Pedro, à Ambohimangakely, une commune proche d’Antananarivo.

(reportage : Christelle Randrianaivotsimba)


C’est une opportunité pour Amadea et les paysans avec qui l’association travaille, d’ajouter de la diversité aux plants qui sont déjà produits dans les pépinières paysannes des groupements.
Cette année, nous avons d’ailleurs profité de l’opération pour y emmener les responsables des pépinières afin qu’ils s’instruisent de l’expérience de cette grande plantation d’arbres.

Cliquer sur l’image pour l’agrandir ou/et utilisez les flèches pour faire défiler

Environ 4000 plants parmi lesquels des arbres forestiers et ornementaux (jacaranda, baobab, terminalia mantaly) ou encore des  arbres fruitiers (citronniers, pêchers, manguiers, papayers, caféiers, avocatiers, etc.) sont ainsi ramenés sur les zones d’intervention, au profit des membres du VTMMA, les groupements de paysans qui travaillent avec Amadea.

L’opération se fait également au bénéfice des écoles qui souhaitent participer à l’opération « Un élève un arbre », une opération initiée par le ministère de l’éducation nationale, en partenariat, cette année, avec le ministère de l’environnement


Test de packaging à la foire’fouille de Noël

Christianna, notre nouvelle responsable de la commercialisation pour les production des différentes coopératives encadrées par Amadea, effectue sa première vente exposition.
Elle participe à la Foire’fouille de Noël, du 21 au 24 décembre au Palais des sports Mahamasina, à Antananarivo.

Son objectif avec les écharpes de Madasoie et toute la collection de fruits séchés de la coopérative Tsinjo : obtenir des retours sur les changements effectués en termes de packaging et de logo.
On ne doute pas qu’ils seront positifs !

Ouverture en vue pour le centre de formation d’Antsirabe

Ouverture en vue pour le centre de formation d’Antsirabe

Enfin ! Les travaux de construction et d’aménagement du Centre de formation d’Antsirabe sont parvenus au stade des finitions. Après une phase de recensement et d’identification des formations à mettre en place avec les différents partenaires concernés, les premiers stagiaires devraient pouvoir être accueillis dans le courant de l’année 2021.
C’est l’occasion de revenir sur l’origine de ce projet et sur les missions que le centre devra remplir.

Un peu d’histoire …

Construit à proximité immédiate du centre Mirana Tsiky, le bâtiment du centre de formation répond à un besoin apparu en 2015, 11 ans après l’ouverture de l’unité d’accueil pour enfants en situation difficile. Pour certains d’entre eux qui ne pouvaient pas poursuivre leurs études ou intégrer un apprentissage, se posait alors la question de leur avenir professionnel.

Avec le réseau OSCAPE (organisation de la société civile d’Antsirabe pour l’enfance) auquel AMADEA et l’APE collaborent, on a constaté que la problématique était globale : il manquait une telle structure de formation à Antsirabe !

Le bâtiment en construction, il y a un an
Initiation à l’informatique
Matériel informatique

Un centre pour quoi faire ?

Pour les adolescents de Mirana Tsiky, comme pour les autres jeunes en difficulté de la communauté urbaine d’Antsirabe, le centre de formation devra leur permettre d’acquérir les compétences nécessaires pour entrer directement dans le monde du travail.

Parmi les formations déjà envisagées : couture, cuisine, pâtisserie, menuiserie, jardinage, apiculture, petit élevage et informatique. Il s’agira de formations très concrètes et individualisées pour leur permettre d’avoir immédiatement une activité génératrice de revenus, gage de leur autonomie financière.

Locaux et équipements

Au rez de chaussée, on trouvera une grande salle polyvalente et une cuisine pour les ateliers de formation culinaires. A l’étage, il y aura quatre salles pour accueillir les différents ateliers en fonction des formations.

Grâce au financement et à la mobilisation des bénévoles du comité Centre Ouest Atlantique, une partie du matériel a déjà été envoyé par conteneur. D’autres équipements, notamment pour le travail du bois, doivent être expédiés au début de 2021.

Pour compléter le centre de formation, des bureaux restent à construire sur une partie du terrain disponible. A ce jour, l’opération n’est pas encore planifiée.

Au mois de janvier 2021, la construction du centre et des annexes est terminée. Les travaux de plomberie et d’électricité ont été réalisés, mais il faut encore que toute l’installation soit raccordée au réseau pour que le bâtiment soit totalement opérationnel.

La construction et l’équipement du centre de formation ont pu être réalisés grâce à des subventions de la Région Bourgogne Franche-Comté, de la ville de Besançon et du Département des Pyrénées Atlantiques.
Un financement résiduel est attendu du projet QUAPEM (projet multi-bailleurs, piloté par l’UNICEF pour venir en aide aux centres qui accueillent des enfants)
Sur des plans réalisés par un architecte bénévole Franc-comtois, l’association UNIRAID (université UniLassalle de Beauvais) et des bénévoles d’AMADEA sont intervenus au tout début de la  construction pour financer et entamer le gros œuvre.

Il n’y aura pas que le centre de formation …

En plus du bâtiment principal, un logement pour un gardien ainsi qu’un bloc de toilettes ont été construits à proximité.


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