Vues aériennes des sites d’Andranovelona et Fieranana

Grace à 4 élèves ingénieurs de l’école des Mines d’Alès qui ont profité d’une année de césure dans leurs études pour effectuer un séjour solidaire à Madagascar, voici des vues inédites de 2 installations soutenues par AMADEA. Elles ont été réalisées par un drone et permettent d’avoir un aperçu sur les sites de la Coopérative Tsinjo, à Andranovelona et sur la pisciculture de Fieranana. Coopérative Tsinjo, à Andranovelona Autour de la sècherie et de la savonnerie de la Koperativa tsinjo, les constructions se multiplient. Un bâtiment abritant la distillerie d’huiles essentielles a été édifié et un atelier de menuiserie est en fin de construction. Depuis peu, l’ensemble du site est autonome en énergie après la pose de panneaux solaires sur le toit de la sècherie. Le logement du gardien ainsi que le local de vente et l’unité de restauration, à l’entrée du site, bénéficient également de l’electricite produite. Pisciculture de Fieranana La pisciculture de Fieranana est située près d’Antanatibe – Mahazaza, dans le groupement VTMMA de la zone...
L’énergie du soleil pour la sécherie Tsinjo

L’énergie du soleil pour la sécherie Tsinjo

Après quelques péripéties matérielles qui en ont retardé l’exécution, l’électrification «solaire» de la sécherie d’Andranovelona (Koperativa Tsinjo) a pu enfin être réalisée. Il a fallu 2 semaines, au courant du mois de juin, pour procéder à l’installation des différents composants. Les panneaux solaires ont été positionnés sur le toit du bâtiment principal de la coopérative ; les batteries et les onduleurs ont été placés à l’intérieur. L’installation est désormais fonctionnelle. L’électricité produite par les panneaux solaires va permettre l’éclairage de l’ensemble du site d’Andranovelona, y compris le local de restauration et le magasin d’exposition- vente, situés à l’extérieur de la sécherie. En ce qui concerne l’alimentation électrique des fours de séchage et des ventilateurs, principalement la nuit, l’utilisation de l’énergie produite durant la journée nécessitera de mettre en place des modalités particulières en matière de...
Opération Code Barre pour la coopérative Tsinjo

Opération Code Barre pour la coopérative Tsinjo

Un nouveau pas a été franchi dans le développement de la coopérative agro-alimentaire Tsinjo, à Andranovelona. Les emballages des fruits séchés seront maintenant agrémentés d’un code barre pour pouvoir être commercialisés dans les grandes surfaces du pays. Pour étendre la commercialisation de sa production aux grandes surfaces d’Antananarivo, il est en effet nécessaire de se conformer aux besoins de la grande distribution en matière d’étiquetage et de gestion des stocks. Aujourd’hui, cela signifie qu’il faut créer des codes barres pour chaque produit que TSINJO veut commercialiser (ananas séchés, gingembre, litchis séchés, physalis séchés, etc). Grâce à des générateurs disponibles sur internet, les codes barres de type EAN13 ont pu être créés avec une nomenclature pour l’instant aléatoire. Reste à présent à voir si cette nomenclature sera acceptée dans les magasins. Actuellement, les paysans de TSINJO vendent déjà une partie de leur production sur les marchés locaux, et les foires ainsi qu’en France, par l’intermédiaire des comités régionaux d’Amadea. Rédaction : Lucie Fornage, volontaire en service civique Une plus grand visibilité à Madagascar Cette action est importante car elle permet de valoriser la production des paysans locaux afind’améliorer leur niveau de vie et d’accéder à un revenu supplémentaire. De plus, la coopérative ainsi que sa production de physalis (frais et séchés) ont obtenu très récemment la certification BIO, ce qui donnera davantage de visibilité dans les grandes surfaces.« Depuis 2020 et leur nouveau packaging, les produits KOPERATIVA TSINJO commencent à se faire remarquer sur le marché malgache. Et grâce à Lucie (volontaire en service civique) qui a créé un code barre pour chaque produit, cela va grandement faciliter la coopération...
Certification «Bio» pour le physalis séché et la coopérative Tsinjo

Certification «Bio» pour le physalis séché et la coopérative Tsinjo

Grande nouvelle attendue depuis plusieurs années : la coopérative Tsinjo ainsi que sa production de physalis (frais et séchés) viennent d’obtenir le label «bio». Il leur a été délivré par l’organisme international «ECOCERT» dont les certifications garantissent et valorisent les meilleures pratiques sociales et environnementales. Conditionnement 100 g. Conditionnement en recto verso Sachets de 100g et 50g Conditionnement 50 g. Pour obtenir la certification ECOCERT avec le VMM, un réseau des sécheurs créé par le Centre écologique Albert Schweitzer (CEAS), il a fallu d’abord identifier les terrains n’ayant pas reçu de produits chimiques depuis au moins 3 ans puis réunir et soumettre un grand nombre de données à l’examen des agents certificateurs, ce qui a pris plusieurs mois. Pour rappel, 184 producteurs des groupements VTMMA sont concernés par cet agrément. Présentation des activités de la coopérative Tsinjo Satisfaction et Félicitations … des réactions unanimes ! «C’est avec une fierté certaine que je vous transfère cette annonce. Cela ne fut pas facile, mais grâce à la ténacité de tous ceux qui y ont contribué, le physalis et la sécherie (pour le séchage du physalis) ont obtenu leur certification Bio. Nous avons pu l’obtenir grâce à l’implication de tous : des techniciens Hasmine, Seth, Nambinina pour l’identification des paysans et des parcelles à certifier, du Dr. Soa pour la partie hygiène (et pas que …) et de Christianna pour les échanges avec ECOCERT. Il a fallu beaucoup de réunions, de déplacements sur les sites, d’échanges … Merci également au CEAS pour sa contribution financière dans la prise en charge d’une partie des frais». Patrick Johannes, chef de mission AMADEA «SUPER ! BRAVO à...

Petite restauration en vue à Andranovelona

Inaugurée au début de l’année, la boutique de vente installée à l’entrée de la coopérative Tsinjo, à Andranovelona, prévoyait également un espace de restauration pour permettre aux visiteurs de faire une pause-déjeuner sur la route de Majhunga. Avec l’épidémie de Covid-19, l’ouverture du restaurant n’a pu avoir lieu comme prévu… Mais ce n’était que partie remise ! La boutique artisanale et son restaurant, au PK45 – RN4 à Andranovelona Petit rappel : au printemps dernier, une formation avait été lancée pour quelques jeunes susceptibles d’assurer la restauration dans les nouveaux locaux. Il s’agissait principalement d’une formule snack avec pizzas et petits plats rapides à confectionner. Mais avec la reprise de l’épidémie de Coronavirus, l’activité de la sècherie avait du être stoppée et avec elle, le lancement du projet. Aujourd’hui, les affaires repartent ! Dans l’optique d’une ouverture prochaine du restaurant, a priori avant la fin de l’année, d’autres jeunes susceptibles de faire fonctionner le restaurant ont été identifiés et sélectionnés. En attendant que la décision d’ouverture soit officiellement prise, ils se préparent à accueillir leurs futurs clients. Pour les aider, en guise de «cobayes», il y avait dernièrement les techniciens d’Amadea réunis le 15 octobre pour effectuer la distribution des kits d’enseignement aux instituteurs et institutrices des écoles AMADEA (lire l’article ici) . Cliquer sur une image pour lancer le diaporama Cuisine … et dépendances ! A noter que les futurs gérants du restaurant seront également chargés d’assurer la vente des produits de la coopérative TSINJO (fruits séchés, confitures, pâtes de fruits …) ainsi que les produits de SAVONIKO (savons) et de MADASOIE (écharpes et écheveaux de...
Amadea s’affiche au 7e salon de la gastronomie, à Antananarivo

Amadea s’affiche au 7e salon de la gastronomie, à Antananarivo

Du 30 septembre au 2 octobre, avec les représentants des groupements agricoles et ses différents partenaires des ateliers de transformation d’Andranovelona, d’Amberomanga et d’Antsirabe, Amadea participe au salon de la gastronomie organisée par l’Alliance Française d’Antananarivo. En 2019, cet événement avait rassemblé plus de 7 000 personnes et une centaine de professionnels, principalement des restaurateurs, de jeunes entrepreneurs, des producteurs, des distributeurs de produits agroalimentaires et gastronomiques ainsi que des acteurs de la formation professionnelle. Pour cette 7e édition du salon de la gastronomie, l’accent est porté sur la valorisation des jeunes entreprises innovantes dites « jeunes pousses » dans l’entreprenariat agricole et agroalimentaire. Et justement, à travers les activités de transformation de la coopérative Tsinjo, AMADEA est au centre du débat. Parmi la quarantaine de stands installés dans les jardins de l’Alliance Française, AMADEA est encore une fois particulièrement bien représentée. Toute les produits élaborés par les acteurs de la Coopérative Tsinjo, de l’atelier de spiruline d’Antsirabe, de la savonnerie Savoniko ou encore de l’unité de tissage Mada’Soie, sont ici présentés. C’est une très importante vitrine publique pour l’association et pour les groupements d’agriculteurs. Sous l’impulsion de Christianna Rama, responsable de la commercialisation d’AMADEA, toute la gamme des produits créés et développés au fil des années trouve un débouché potentiel. Préc 1de32 Suiv. Reportage photo : Annie Christelle A noter que vendredi 1 octobre au Tamboho Boutik Hôtel à Ambodivona, se déroulera un des moments phares de la manifestation : une soirée de gala et de show culinaire avec la participation de plusieurs Grands Chefs Malagasy et...