Cantines scolaires : la campagne 2024 a commencé

Cantines scolaires : la campagne 2024 a commencé

Lundi 12 février, les cantines scolaires ont repris dans les 11 établissements scolaires engagés dans le programme VAHATRA. Cette action, menée en partenariat avec l’Association  « Un enfant par la main», va durer 14 semaines, c’est a dire durant toute la période de soudure alimentaire, toujours très difficile à traverser pour les familles. Cette année, le nombre de repas distribués augmente encore pour atteindre près de 2000 repas par jour (1898 exactement) et ce, 4 fois par semaine. L’année dernière, 1582 déjeuners avaient été servis quotidiennement dans les différents établissements concernés : 3 ecoles préscolaires, 8 écoles primaires et 2 collèges. Un dispositif bien rodé Le suivi de la cantine est assuré dans chaque école par un comité de gestion composé des représentants des parents d’élèves, des enseignants et de l’équipe d’AMADEA (techniciens, animatrices nutritionnistes auxquels sont associés cette année les jeunes leaders désormais opérationnels). UEPLM est bien entendu partie prenante dans le dispositif. En ce qui concerne l’approvisionnement en fruits et légumes, il est assuré par les parents d’élèves ou par des membres des groupements paysans (VTMMA) soutenus par AMADEA. Le programme VAHATRA, quant à lui, prend en charge la fourniture du plat principal et du dessert et – si besoin – des rations de riz qui ne pourraient être apportées par les parents. Photos du programme 2023 ©️Annie Christelle Un programme alimentaire qui évolue chaque année A terme, toutes les écoles seront dotées d’une cuisine. Cela est déjà le cas pour 4 des 11 établissements scolaires du programme VAHATRA : les écoles d’Antsaonjobe,  d’Andranonahoatra et d’Ambéromanga ainsi que l’école primaire publique d’Antanetibe, la dernière en...
Un utilitaire pour Mada !

Un utilitaire pour Mada !

Chers amis et sympathisants d’AMADEA, nous vous sollicitons pour financer l’achat d’un véhicule d’occasion à Tananarive. Il sera affecté à la coopérative TSINJO pour permettre d’acheminer ses marchandises et de transporter son personnel (de 6 à 7 personnes) sur les différents lieux de vente.  Le modèle de véhicule que nous envisageons pour cela est une fourgonnette Mercedes Sprinter (ou un modèle équivalent), dans sa version semi-fourgon. Ce type de véhicule est bien adapté à notre besoin puisqu’il permet à la fois de transporter des marchandises et des passagers et il répond aux conditions de circulation à Madagascar. Une version 4×4 serait préférable, mais elle est plus difficile à trouver.  Notre besoin … Aujourd’hui, la part principale de notre budget est affectée au fonctionnement de l’ensemble des activités qui ont été générées depuis 1986. L‘étape de la production étant à présent atteinte, il nous faut développer celle de la commercialisation. Pour ce faire, il faut prendre en compte que l’accès aux filières de commercialisation à Madagascar passe avant tout par la participation aux foires organisées autour de la capitale et dans la région Analamanga. Le démarchage auprès des intermédiaires et des grossistes nécessite également de pouvoir se déplacer et présenter les marchandises. A travers cette campagne, nous vous sollicitons pour financer l’achat de notre premier véhicule d’occasion à Tananarive. Il sera mis à disposition de la coopérative TSINJO  pour transporter et commercialiser ses produits de foire en foire. Le modèle présenté, une fourgonnette Sprinter Mercedes semi-fourgon (ou un modèle équivalent) est le type de véhicule souhaité par nos amis malgaches. Nous comptons sur la générosité de chacune et chacun afin de collecter 15000 à 18000 € en 12 mois...
Un «sans-faute» pour la dictée d’Aunac

Un «sans-faute» pour la dictée d’Aunac

À la salle des fêtes d’Aunac, dans une ambiance amicale, une trentaine de personnes ont participé dimanche 4 février, à la traditionnelle dictée annuelle d’AMADEA. Outre la dictée, il y avait au menu une dégustation des douceurs de la chocolaterie Robert, des chouquettes «maison», du café et des jus de fruits. Le texte proposé à la dictée, en langage courant, a permis de réviser ou d’apprendre comment résoudre quelques pièges fréquents de notre «si simple» grammaire française.Après la dictée, chacun des participants a pu corriger sa copie. Le nombre de fautes n’était pas le plus important et tous,  gagnants face à leur propre défi, sont repartis avec un livre de leur...